Les textes, comme ceux des cartes postales, sont présentés d'une part sous forme numérisée (photo de l'original), d'autre part transcrits. Ils sont généralement regroupés dans des tranches numériques différentes :

  • n° 2000 et suivants : documents administratifs sans destinataires : certificats, documents d'état-civil, formulaires.
  • n° 2200 et suivants : courriers ou correspondance, aussi bien administrative que privée ou personnelle, comportant un nom de destinataire à la différence des précédents.
  • n° 2600 et suivants : autres textes divers.

Ces documents ont un titre, qui ici peut être désigné comme 'objet' du document.

Ils doivent avoir une date aussi précise que possible, étant classés en ordre chronologique, ainsi qu'un nom d'expéditeur ou d'émetteur, et sont accompagnés de toutes précisions jugées nécessaires.
Nous les classons en ordre chronologique, ce qui peut constituer des séries thématiques cohérentes, au gré d'événements ayant donné lieu à des documents et échanges épistolaires spécifiques. Exemples :

  • n° 2246 et suivants : correspondance reçue de Lucien Jeanjean (avec sa femme Julie et son fils Edouard, demi-frère de Simon), en fin 1903, en vue de la venue à Paris de Simon et de ses 3 tantes (soeurs de Lucien). Dans ce cas, comme pour les cartes postales du poilu, nous n'avons que les lettres reçues et conservées par Simon Jeanjean. A noter que certaines, ici, ont été déchirées ; nous avons reconstitué le puzzle des morceaux ;
  • n° 2200 et suivants : carrière de SJ, notamment dans le cadre de la société Tourniéroux (Becs Visseaux) ;
  • n° 2208 et suiv. : litiges avec l'Office d'habitations à bons marchés (OHBM) du 140 rue de Ménilmontant, suite à des problèmes de voisinage ;
  • n° 2219 et suiv. : litiges avec la direction de l'Ecole Gerson où Monique était employée ;
  • etc.

Ces pièces de format réduit sont ici présentées dans leur forme originale et transcrites. Mention particulière doit être faite ici d'un texte long, écrit de la main de Simon Jeanjean dans les dernières années de sa vie, mais dont l'original manuscrit ne présente pas d'intérêt propre. Il y fait état d'une légende familiale remontant à la Révolution française et aux campagnes napoléoniennes, à propos d'une de ses aïeules maternelles, orpheline anglaise recueillie par la famille (lignée maternelle des Moujoun). Ce texte (n° 2601) trouvé parmi ses archives vient ici enrichir sa biographie.