N° 55 | 1984
La bonne distance selon L’homme et la coquille de Paul Valéry

L'homme et la coquille occupe une place particulière, peut-être exceptionnelle, dans l’œuvre de Valéry. Elle se présente comme un ralenti mental et, de même que le ralenti cinématographique donne à voir le temps, de même, aimerait-on dire, l'allure, le pas même de la réflexion retenu par Valéry donne à voir le penser. Et la démarche de Jean-Claude Coquet, en s'attachant à détailler les paliers de la quête épistémique, atteste cet aspect.