Afin d’alimenter le débat d’idées, le journal Le Monde publie chaque jour des tribunes de signataires extérieurs à la rédaction. Le 19 mars, un collectif a publié une tribune en ligne intitulée « Le dépistage prénatal du cytomégalovirus encore retoqué : une pandémie invisible que le Haut Conseil de la santé publique choisit d’ignorer », ou « Cytomégalovirus, la pandémie invisible que le Haut Conseil de la santé publique ignore » en version papier.

Le Professeur Sophie Alain, Co-Directrice de l’UMR Inserm 1092 RESINFIT et Directrice du Centre National de Référence Herpèsvirus. , fait notamment partie du collectif à l’origine de cette tribune. Cette dernière met l’accent sur les professionnels de santé qui déplorent que le cytomégalovirus ne soit toujours pas dépisté chez les femmes enceintes, alors que l’infection par ce virus peut entraîner de graves conséquences chez les nouveau-nés.

Rappelons en effet que le cytomégalovirus (CMV) est un virus qui appartient à la famille des virus de l’herpès, une infection virale qui, chez la femme enceinte, peut provoquer des lésions chez le fœtus. Une « pandémie invisible » à ne pas prendre à la légère, en d’autres termes. L’article du Monde est accessible en ligne, mais réservé à ce jour aux abonnés de la plateforme :

• Accéder à l’article : « Le dépistage prénatal du cytomégalovirus encore retoqué : une pandémie invisible que le Haut Conseil de la santé publique choisit d’ignorer »

L’article du Monde en version papier