Note

Dominique Gay-Sylvestre 

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Note de bas de page 1 :

C’est nous qui ajoutons.

Note de bas de page 2 :

Bollmann, S. (2013). Les femmes qui pensent sont dangereuses. Paris : Ed. Gründ, p. 13

Note de bas de page 3 :

Id.

Note de bas de page 4 :

Id. Ibid.

« Les femmes qui pensent ne sont [pas]1 dangereuses », loin s’en faut. Que ce soit au Mexique, au Brésil, aux USA, en Nouvelle Calédonie, en Haïti, en Italie, en Egypte, au Liban, en France, en Espagne, les femmes luttent pour revendiquer leur liberté de penser et de façonner librement leur existence. Même si certaines d’entre elles ont encore du chemin à parcourir pour ne pas « se préoccuper de ce que disent les gens2 » et agir « en suivant [leurs] propres convictions »3, les travaux présentés dans le numéro 6 de la revue Trayectorias Humanas Trascontinentales (TraHs), sont la preuve que les « Les femmes…ne craignent pas de se servir de leurs capacités. Elles n’hésitent pas non plus à saisir les opportunités lorsqu’elles se présentent à elles. Elles agissent d’une manière dont elles ne se seraient jamais crues capables, comme si elles ne connaissaient pas la peur, ou que la peur les ait brusquement quittées. »4