Remerciements
Je tiens à exprimer toute ma reconnaissance à MM. Plemenos et Jolivet pour
leur encadrement, leurs nombreux conseils et leur soutien constant tout au
long de ma thèse.
M. Caubet m'a fait l'honneur d'accepter d'être président de
mon jury de thèse et rapporteur de celle-ci. Pour cela, ainsi que pour ses
commentaires sur mon mémoire, je lui exprime ma profonde gratitude.
Je remercie M. Mériaux d'avoir accepté d'être rapporteur de ma thèse, ainsi
que pour ses jugements très pertinents sur mon manuscrit, tant sur le fond
que sur la forme.
Je remercie M. Ghazanfarpour pour avoir accepté de faire
partie de mon jury de thèse. J'ai beaucoup appris en infographie grâce à son
livre écrit en collaboration avec M. Péroche.
Je remercie tous les chercheurs, enseignants et membres du personnel du
laboratoire MSI pour leur amitié et leur aide pendant ces trois années de
thèse. Notamment notre toujours jeune et pétillante Suzy, l'auguste Horace
qui seul goûte à Jidé mes extravagants développements borgésiens et
postmodernes, Sylvain le relieur admirable et Kevin l'Excellence de
l'Excellence.
Je tiens à témoigner tout particulièrement ma sympathie et
ma reconnaissance à Hubert pour m'avoir supporté dans son bureau durant ces
dernières années, et ce avec un stoïcisme inégalable. De plus, grâce à lui,
j'aurai pu découvrir quelques mystères de l'administration système. Il fait
incontestablement partie des gens sans qui ce travail n'aurait sans doute
jamais abouti.
Je remercie Serge Bailly et Cédric Peyronnet pour leur
accueil chaleureux quand j'ai eu à (modestement) intervenir en TIC.
J'inclus ici une liste d'amis (rangée par ordre
alphabétique), qui, ces dernières années, ont beaucoup compté pour moi :
Bertrand Bach, Véronique et Christophe Cadic, Leïla et Denis
Carabin, Stéphane Dellière, Sylvia Estivie, Chantal et Pierre Fourest,
Sylvain Loulergue, Frédéric Royer, Jacques Texier, Frédéric Terracher et
Emmanuel Weppe.
Si Marcel Proust ne croyait pas en l'amitié, c'est parce
qu'il n'a pas connu les miens.
Il m'est bien évidemment impossible de ne pas citer l'Homme qui
a été la plus grande chance de ma vie : Friedrich Nietzsche. Ma rencontre
avec les écrits incomparables de ce philosophe est pour moi d'une importance
si grande qu'il est indécent de parler simplement de dette. Qui est
d'ailleurs parvenu aux hauteurs de Zarathoustra pour en parler avec la
profondeur et la joie qui conviennent ?
Je termine par un grand remerciement à mes parents auxquels
je dédie mon mémoire de thèse.