Interfaces numériques https://www.unilim.fr/interfaces-numeriques Interfaces numériques est une revue scientifique internationale spécialisée dans le design numérique. Elle est reconnue revue de rang A par l'HCERES pour la 71ème section. Elle figure dans le répertoire international des revues scientifiques en ligne en accès libre, DOAJ.
Elle a pour objectif de faire coopérer des professionnels, des chercheurs universitaires et des chercheurs en école de design sur des problématiques liées au design numérique que les sciences humaines traitent avec une ouverture pluridisciplinaire réelle.
fr Introduction https://www.unilim.fr/interfaces-numeriques/5052 La pandémie de la Covid-19 a nourri, pour les uns, l’espoir de l’émergence d’un monde totalement digitalisé. Elle a pleinement investi le travail à distance comme le milieu à travers lequel se joueraient les échanges sociaux sous toutes leurs formes. Pour d’autres, elle a en revanche créé le sentiment d’un enlisement dans une société du « tout numérique ». Insidieusement, ce dernier tend à aspirer les arts de vivre (Fourmentraux, 2017). Ces deux approches s’opposent radicalement. Internet est sans conteste figure emblématique des réseaux numériques. À ce titre, il propose une pseudo-sublimation de l’acte créatif, de sa prise en charge par des plateformes numériques et des machines ainsi que l’affirme Jean-Paul Fourmentraux. La dématérialisation de l’art est, en effet, une utopie formulée dès 1911 par Umberto Boccioni en tant que théoricien du « dynamisme plastique » futuriste. Dans ce sens, Jean-Paul Fourmentraux (2006 : 48-49) relève que : « La spécificité d’Internet consiste à proposer simultanément un support, un outil et un environnement créatif. Il faut entendre ici par support sa dimension de vecteur de transmission dans la mesure où Internet est son propre diffuseur ; par outil, sa fonction d’instrument de production, qui donne lieu à des usages et génère des dispositifs artistiques ; par environnement le fait qu’il constitue un espace habitable et habité. Dans ce contexte, le travail artistique vise la conception de dispositifs interactifs mais aussi la production de jeu., 07 déc. 2023 00:00:00 +0100 https://www.unilim.fr/interfaces-numeriques/5052 « Mordre la machine »1 https://www.unilim.fr/interfaces-numeriques/5054 L’art peut-il constituer un laboratoire pour penser la technique, mettre en question l’écosystème machinique, cultiver le numérique ? Depuis une vingtaine d’années, l’œuvre de Julien Prévieux explore la matérialité du numérique et la normalisation des comportements induits par les systèmes techniques. Dans la lignée de l’archéologie des médias, ses créations permettent d’interroger la transformation du monde en données (notamment informatiques) et l’histoire ambivalente de la capture du mouvement, depuis ses origines scientifiques jusqu’à son instrumentalisation contemporaine par les institutions militaires ou du renseignement : optimisation et prescription des gestes d’interface, enregistrement des mouvements du regard, surveillance accrue des comportements étiquetés comme déviants, etc. Cet article propose d’examiner cette approche technocritique et statactiviste, à contre-courant de l’idéologie du progrès et de l’accélération de l’innovation. Can art be a laboratory for thinking about technology, questioning the machine ecosystem, cultivating the digital? For the past twenty years, Julien Prévieux's work has explored the materiality of the digital and the standardization of behavior induced by technical systems. In the tradition of media archaeology, his creations allow us to question the transformation of the world into data (especially computer data) and the ambivalent history of motion capture, from its scientific origins to its contemporary instrumentalization by military or intelligence institutions : optimization and prescription of interface gestures, recording of gaze movements, increased surveillance of behaviors labeled as deviant, etc. This article examines this technocritical and statactivist approach, which runs counter to the ideology of progress and the acceleration of innovation. jeu., 07 déc. 2023 00:00:00 +0100 https://www.unilim.fr/interfaces-numeriques/5054 Défragmenter notre personnalité par le dialogue art-science : pour une co-énonciation écologique, transformative et une éthique joyeuse, allant de soi https://www.unilim.fr/interfaces-numeriques/5067 A l’ère où il semble devenu évident pour beaucoup que l’humanité doive changer sa façon d’habiter la terre, des prédictions d’avenirs très distincts parcourent les réseaux et nos cerveaux. Dans une perspective immédiate de davantage de respect vis-à-vis de la nature, une question pragmatique peut s’ériger en chacun de nous : « que faire ? ». Dans une logique d’écologie de l’humain et de co-énonciation avec le vivant, cet article propose une piste possible vers l’émergence d’une éthique à l’échelle individuelle. Au-delà d’une anxiété paralysante, ou d’une action précipitée, peut-on penser une éthique rassurante, allant de soi ? Après l’examen des causes profondes de la crise écologique, l’idée proposée ici est qu’une co-énonciation avec le vivant, au service du vivant, pour la création d’un nouveau monde écologique, passe à l’échelle individuelle par une harmonie intérieure. Il s’agit alors de sortir de l’emprise des pièges d’un numérique débordant et d’effacer les dissonances internes que nos facettes scientifique et artistique peuvent avoir, dissonances parfois renforcées et/ou révélées par les arts numériques. Nous chercherons à montrer comment, en se réappropriant ces « désaccords intérieurs » et en pratiquant une démarche d’écologie introspective via l’art et la science, nous pouvons progressivement nous « défragmenter » par ce que l’on appellera via un élargissement de concept, une « co-énonciation intra-personnelle ». Par là même, des transformations salutaires pour le collectif humain et non humain s’opèrent. Parallèlement, la mise en place de qualités d’être impliquant le corps et l’esprit pour vivre la co-énonciation ouvre le chemin vers une éthique spontanée, joyeuse, allant de soi. Dans cette optique, les arts numériques deviennent un moyen d’expression créatif parmi d’autres, au service d’une co-énonciation écologique c'est-à-dire respectueuse de la nature, sans en être son substitut. In an age when it seems obvious to many people that humanity must change the way it inhabits the earth, predictions of very contrasted futures are running through the networks and our brains. In a short-term perspective of greater respect for nature, a pragmatic question may arise in each of us : "What should we do ?” In a logic of human ecology and co-enunciation with the living beings, this paper provides a possible path towards the emergence of an ethic at the individual scale. Beyond paralyzing anxiety and hasty action, can we think of a reassuring, self-evident ethic ? After examining the deep-rooted causes of the ecological crisis, the idea highlighted here is that, the co-enunciation with living beings, serving living beings, for the creation of a new ecological world, requires an individual-based inner harmony. It's a matter of escaping the traps of an overflowing digital world and erasing the internal dissonances between our scientific and artistic facets. These dissonances can be reinforced and/or revealed by the digital arts. We aim to show how, by the reappropriation of these "inner disagreements" and practicing an introspective ecology via art and science, we can gradually "defragment" ourselves through an "intra-personal co-enunciation“, so called by an expansion of concept. This step brings about beneficial transformations for the human and non-human collective. At the same time, the implementation of body-mind qualities of being during co-enunciation paves the way to a spontaneous, joyful and self-evident ethic. Within this context, the digital arts become a means of creative expression among others, serving an ecological co-enunciation, i.e. respectful of nature, without being a substitute for it. jeu., 07 déc. 2023 00:00:00 +0100 https://www.unilim.fr/interfaces-numeriques/5067 Zone de timidité1 de Maria Donata d’Urso – Une création au risque du vivant https://www.unilim.fr/interfaces-numeriques/5079 Une création au risque du vivant est une œuvre qui intensifie qualitativement la part de l’organicité au cœur de la relation dramaturgique qu’elle explore. Ce faisant, dans le rapport aux publics et aux institutions, le lieu du geste artistique devient le sismographe de la place qu’une société accorde, ou ne considère pas normal accorder à d’autres acteurs que les humains. Les éco-dramaturgies se multiplient pour autant, certaines étant plus radicales que d’autres. Nous sommes allée à la rencontre d’une des plus radicales. Zone de timidité est une création immersive dont notre texte propose une ekphrasis en invitant le lecteur à la découvrir via une approche dénudée autant que possible de tout filtre épistémologique. L’analyse qui suit se fait en dialogue avec la chorégraphe et danseuse Maria Donata D’Urso, autour de la puissance figurale des métamorphoses qu’elle traverse sur scène, ainsi que des enjeux et des conséquences que comporte la signature d’une « éco-scène ». A creation at the risk of the living is a work that qualitatively intensifies the organic element at the heart of the dramaturgical relationship it explores. In this way, in its relationship with audiences and institutions, the site of the artistic gesture becomes the seismograph of the place that a society grants, or does not consider normal to grant, to actors other than humans. Eco-dramaturgies are multiplying, some more radical than others. We went to meet one of the most radical. Zone de timidité is an immersive creation, of which our text proposes an ekphrasis, inviting the reader to discover it through an approach stripped as far as possible of any epistemological filter. The following analysis is based on a dialogue with choreographer and dancer Maria Donata D'Urso, focusing on the figurative power of the metamorphoses she undergoes on stage, and the issues and consequences involved in signing an "eco-scene". jeu., 07 déc. 2023 00:00:00 +0100 https://www.unilim.fr/interfaces-numeriques/5079 L’art révèle comment une culture envisage ce qui relie l’humain à la nature et au vivant. Entretien avec Mireille Mérigonde https://www.unilim.fr/interfaces-numeriques/5096 Sampawendé Bruno Guiatin : Bonjour Mireille. En tant qu’écosémioticienne, dans quel contexte situez-vous la problématique de l’emprise des cultures et technologies sur nos formes de vie ? Mireille Mérigonde : Si on entend les mots « culture » et « technologie » comme des synonymes de « civilisation » et « machines », je les situe dans le contexte de la guerre des idéologies (religieuse et politique) et de notre asservissement volontaire à des objets qui ne sont pas toujours bons pour nous et qui sont issus d’un monde dominé par le pouvoir de l’économie. L’étymologie du mot « culture » m’a toujours fascinée. « Colere », en latin, renvoie à la fois au fait de « cultiver » et à celui d’« habiter » une terre. L’évolution sémantique du terme manifeste les orientations prises dans la civilisation occidentale. De la pratique agricole, on est passé au produit de cette pratique puis à un usage étendu qui désigne toutes les pratiques (culture humaniste, populaire, de masse, physique, urbaine, numérique). Entendu au sens large, il se rapproche de « civilisation ». Mais surtout, l’étymon a donné « culture » et « colonie ». Pour nous la terre est une possession. Cultiver, c’est habiter, convoiter une propriété, dominer et, à ce titre, légitimer les conflits, les morts d’hommes, de femmes et d’enfants, la disparition d’autres cultures, au nom d’une histoire, de la religion ou de la productivité. Le monde actuel montre combien les « cultures » capitalistes sont violentes contre les terres m jeu., 07 déc. 2023 00:00:00 +0100 https://www.unilim.fr/interfaces-numeriques/5096 Le tissage en art contemporain : une pratique sensible. Entretien avec Cassandre Boucher https://www.unilim.fr/interfaces-numeriques/5099 Fiona Delahaie : Pouvez-vous vous présenter ? Comment est né votre parcours artistique ? Cassandre Boucher : D’origine québécoise, je suis arrivée en France il y a maintenant deux ans. Cependant, comme j’ai fait plusieurs résidences artistiques, je n’ai pas été présente en continu à Paris. Je suis donc encore en train de découvrir la culture française, et même la ville dans laquelle j’habite. J’ai fait mes études au Québec, plus précisément à l’UQAM. J’ai un parcours essentiellement en art imprimé, surtout en sérigraphie. C’est vraiment le médium que j’ai poursuivi de façon la plus assidue après mes études. En effet, j’ai beaucoup questionné les rapports d’opposition entre la photo et la peinture, en utilisant la sérigraphie comme une passerelle, un pont, qui me permettait de travailler numériquement des images photographiques et de les transférer sur d’autres supports sur lesquels je venais ensuite repeindre. J’avais tendance à concevoir les images-sources photographiques comme une trace du passé, comme quelque chose de concret qui avait vraiment existé, car j’utilisais surtout des photos assez anciennes, des photos objet-papier… ce qui existe de moins en moins. Ainsi, je positionne le geste pictural davantage dans le présent, dans le mouvement. Fiona Delahaie : Qu’est-ce qui a motivé votre démarche artistique en lien avec le textile ? Cassandre Boucher : De fil en aiguille, j’ai imprimé en sérigraphie sur différents supports et j’en suis venue à travailler le textile en m’ jeu., 07 déc. 2023 00:00:00 +0100 https://www.unilim.fr/interfaces-numeriques/5099 Introduction https://www.unilim.fr/interfaces-numeriques/4996 « Territoires innovants » empreints d’« high tech », « smart cities », « smart agriculture » ou « agriculture climato-intelligente » ; « startupisation », « smart cities », « tiers-lieux » ; « transition numérique / écologique » ; autant de voies/voix qui se dessinent pour des sociétés dites « nouvelles », des territoires annoncés comme plus écologiques, moins énergétiques, plus durables, résilients et sûrs grâce à la traçabilité numérique … C’est cette visée éthique, c’est-à-dire cette conception du mieux-vivre, du mieux-être individuels et collectifs (Besnier, 2009) que le Président Emmanuel Macron reprend dans son discours de présentation du plan de relance « France 2030 » prononcé en octobre 20211 : « Nous devons investir dans trois révolutions qui vont en quelque sorte être la suite de la révolution mécanique et de la révolution chimique qu'on a connue : le numérique, la robotique, la génétique. Ce sont les trois transformations essentielles. » Trois « révolutions » qui à vrai dire n’en font qu’une ; la croyance que les technologies numériques/biotechnologies sont les réponses aux défis sociétaux : mieux vivre, mieux manger, mieux se soigner, mieux se former, mieux composer avec le vivant et la Terre ... Mais elles soulèvent également des interrogations voire même des oppositions ; sentiment de passages en force, d’agression ou d’aliénation des territoires tant urbains que ruraux. Ces réactions se manifestent par de multiples contestations de projets industriels (parcs ven., 27 oct. 2023 00:00:00 +0200 https://www.unilim.fr/interfaces-numeriques/4996 Évaluer les innovations territoriales : performances, impacts et compatibilité https://www.unilim.fr/interfaces-numeriques/4998 Comment designer ou contre-designer des formes d’innovations qui seraient de « véritables innovations territoriales » ? L’évaluation ex-ante est la clé pour réaliser un design ou un (contre)-design des innovations territoriales. Comment réaliser cette évaluation ? Faut-il enregistrer les performances des territoires ? Faut-il plutôt évaluer les impacts des changements sur les territoires ? Mais par rapport à quelle situation de référence ? Nous proposons les règles suivantes. Quand le changement introduit par l’innovation territoriale est vu comme marginal et situé dans un univers stable, l’évaluation par les performances est suffisante. Dans un univers en proie aux bouleversements, l’évaluation adéquate serait celle des impacts. Quand le changement n’est plus marginal mais fondamental, il devient pertinent d’évaluer la compatibilité de l’innovation à l’aune d’un scénario de référence. Nous illustrons ces trois cas par des exemples de terrain. How to design or counter-design forms of innovations that would be "real territorial innovations"? The ex-ante evaluation is the key to carry out a design or a (counter)-design of territorial innovations. How to carry out this evaluation? Should we record the performances of territories? Should we rather evaluate the impacts of the changes on the territories? But in relation to which reference situation? We propose the following rules. When the change introduced by the territorial innovation is seen as marginal and located in a stable universe, the evaluation by the performances is sufficient. In a disrupted universe, the adequate evaluation would be the one of the impacts. When the change is no longer marginal but fundamental, we can evaluate the compatibility of the innovation with a reference scenario. We illustrate these three cases with examples from the field. ven., 27 oct. 2023 00:00:00 +0200 https://www.unilim.fr/interfaces-numeriques/4998 Du numérique au dynamisme, métamorphoser l’esprit du design de l’agriculture https://www.unilim.fr/interfaces-numeriques/5009 L’agriculture manifeste l’intrication constitutive du design des territoires, des plantes cultivées, des nourritures et des vies humaines. L’obscurcissement des liens qui sous-tendent cette intégration a fait disparaître peu à peu la compréhension des dynamismes inhérents aux processus naturels, en particulier ceux qui prennent part à l’édification des plantes et des nourritures. Pour le voir, il est nécessaire d’examiner quel type de rationalité oriente l’esprit du design vers la modernisation agricole et l’agriculture numérique. Cet examen prend son éclairage dans la conception de la connaissance chez Goethe, pour qui le tout ne prend sens qu’à la condition d’intégrer l’idée centrale de métamorphose. Cette conception s’applique à tous les plans d’organisation, et donc à l’esprit même du design. Comme antidote à une désintégration des liens qui unissent, les plantes se révèlent une leçon de métamorphose capable de guider l’innovation au service de territoires animés de vie. Agriculture embodies the constitutive entanglement of the design of lands, crops, foods and human lives. The blurring of the links that underlie this integration has gradually obscured the understanding of the dynamics inherent in natural processes, especially those involved in the building of crops and foods. To see this, it is necessary to examine the type of rationality that directs the spirit of design towards agricultural modernization and digital agriculture. This enquiry is inspired by Goethe's conception of knowledge, for whom the whole only makes sense if it incorporates the central idea of metamorphosis. This conception applies to all organizational levels, and thus to the very spirit of design. As an antidote to a disintegration of the ties that unite, plants appear to be a lesson of metamorphosis capable of guiding innovation in the service of territories permeated with life. ven., 27 oct. 2023 00:00:00 +0200 https://www.unilim.fr/interfaces-numeriques/5009 Parutions récentes https://www.unilim.fr/interfaces-numeriques/5027 Psychologie du travail digitalisé Marc-Eric Bobillier Chaumon, Dunod, 2023 Les nouvelles formes de travail (travail hybride et distanciel, algorithmisation de l’activité, flex-office…) et l’arrivée de technologies émergentes (IA, robot, technologies immersives et ubiquitaires…) bousculent aujourd’hui profondément notre rapport au travail, à nous-mêmes ainsi qu’aux autres. Ce n’est pas seulement le contenu et la nature du travail à faire qui se reconfigurent, c’est également la manière de faire ce travail qui se trouve remaniée. Les professionnels sont malheureusement trop peu associés à ces transformations qui les touchent pourtant au premier chef. Ils sont vus au mieux comme la simple variable d’ajustement d’un projet qui les dépasse, au pire comme les exécutants dociles d’une technologie qui devient le maître de ceux qu’elle était censée servir. Ce qui est alors souvent présenté comme un vecteur de progrès et d’efficacité au travail impose en fait des renoncements à ce que le sujet s’efforce de construire à l’échelle de son métier, en matière de compétences et de gestes professionnels, de règles de travail et de critères de qualité, d’initiatives individuelles et collectives. Ces empêchements dégradent alors les conditions d’exercice de son activité, fragilisent son engagement subjectif et compromettent sa santé au travail. Cet ouvrage aborde la question des transformations digitales et des mutations du travail qui en découlent, en portant une réflexion critique sur les évo ven., 27 oct. 2023 00:00:00 +0200 https://www.unilim.fr/interfaces-numeriques/5027